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JEAN CALEMBERT.

J’ai le plaisir de recevoir comme deuxième invité, un auteur et son premier roman JOE HARTFIELD, L’HOMME QUI VOULAIT TUER DONALD TRUMP.

Je m’appelle Jean Calembert. J’ai 79 ans bientôt 80 le 4 août prochain. Je suis né à Liège où j’ai fait des études de droit avant de bifurquer sur le marketing dans des grandes multinationales et de créer ma propre société d’études de marché à Anvers en 1988. J’ai toujours été féru d’art (j’ai fait des expos de photos et de peinture), de littérature (je lis deux à trois bouquins par mois, parfois plus depuis que j’ai 15-16 ans) et  de musique, en particulier le jazz. Ma vie professionnelle a toujours été bien remplie, avec des hauts et des bas mais je n’ai jamais eu l’esprit assez libre pour écrire … jusqu’au 4 août 2019, le jour de mes 77 ans. Les photos, le jazz, la peinture étaient des défoulements, des médicaments pour lutter contre le stress et même le burn-out. Le 4 août, la limite pour les « jeunes » , j’ai décidé de tout mettre au placard et d’écrire ! Et j’y ai pris un plaisir fou. Mon livre « Joe Hartfield, l’homme qui voulait tuer Donald Trump » est basé sur deux fils rouges: un autobiographique ma vie de 18 ans à 79 ans, un de fiction la vie de trois personnes que j’ai rencontré à Omaha lors d’un séjour d’un an aux USA puis perdus de vue et dont j’ai inventé le parcours de vie jusqu’en 2019. Je viens recommencer un nouveau livre « Les mal aimés » …

Toute cette histoire n’aurait jamais vu le jour si Jean Duchêne, le jour de ses 77 ans, n’avait eu une inspiration aussi soudaine qu’inattendue. Il allait écrire un premier roman. Le héros serait Joe Hartfield, un ami noir rencontré à Omaha (Nébraska) en 1960 et, à la fin du livre, en 2020, Joe essayerait de tuer Donald Trump.

Le découpage de l’histoire se fait par couple homme-femme et par tranches de vie. On remonte ainsi au voyage de Jean aux Etats-Unis à dix-huit ans puis on suit, pas à pas, les parcours de vie des quatre personnages principaux, Joe, Jean, Marlene et Marcus et de leurs proches, des personnages ordinaires à qui il arrive des choses extraordinaires.

Ils surmontent les épreuves et les coups durs de la vie grâce à leur courage et à leur créativité. Ils se remettent en question, se renouvellent et se réinventent sans cesse. Deux fils rouges dans ce premier roman. Le premier est l’amitié inébranlable qui lie les personnages principaux: leurs rencontres, leurs retrouvailles et leurs déboires. Le second, l’évolution lente de Joe de ‘jeune photographe nonchalant et inconnu’ jusqu’à ‘vieux sage déconnecté mais débordant de vie’ en passant par ‘activiste radical et meurtrier en puissance’.

Au terme de péripéties multiples, marquées du début à la fin par l’humour, les clins d’yeux et les surprises, les personnages s’expriment sur les éléments purs et toxiques de l’amour, sur l’art, sur le racisme et les injustices, sur la futilité de la quête d’argent, sur les vraies valeurs, partagées, transmises ou menacées.

Le jazz, Derek Hartfield (l’écrivain stérile), Hugh Hefner (le patron de Playboy), la Négresse Blonde, les cités jardins et les bouquettes liégeoises (dégustées au Montana!) apportent des espaces de respiration bienvenus dans un récit dense étalé sur plus de soixante ans.

Jean Calembert est né à Liège en août 1942. Il vit aujourd’hui à Bruxelles et à Laborel (Drôme Provençale). Docteur en droit, expert en marketing et en études de marché, il a travaillé dans des multinationales et dans des PME familiales avant de créer sa propre société à Anvers. Il a fait plusieurs expositions de photos et de tableaux.

« Joe Hartfield, l’homme qui voulait tuer Donald Trump » est son premier roman.

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